Hello tout le monde ! I'm not a superman but i'm just a man. ❤ MON NOM EST Zachary J. Burberry
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♫ Arrivée à l'académie : 17/07/2012
| Sujet: Fiche Arizona Kara Richards Lun 30 Juil - 13:15 | |
| ✘ ARIZONA KARA RICHARDS
NOM : Richards◮ PRÉNOM(S) : Arizona, Kara.◮ ÂGE : 28 ans.◮ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Né le 13 janvier 1984 à Paris. ◮ STATUT : Célibataire.◮ PROFESSION/ÉTUDES : Moniteur de hunter.◮ ATTIRANCE SEXUELLE : Hétéro.◮ AVATAR : Olivia Wilde.◮
→ ASK ME ANYTHING Moi, je suis une femme compliquée. Une femme dont vous découvrirez plusieurs facettes. Une femme avec laquelle vous ne pourrez pas jouer sans autorisation. Je vais vers les hommes, je les attire, puis je les expulse gentiment, leur indiquant la sortie avec grâce. Vous ne m'aurez pas facilement, la quête sera longue et pourvue de nombreux obstacles. Tout d'abord, je dirais que sais montrer mon charme, je suis une manipulatrice, qui a de l'expérience et plus d'un tour dans son sac. Généralement, je n'ai pas besoin de faire la moue pour obtenir ce que je souhaite. Il me suffit de faire mon regard d'ange, et tout est à mes pieds. Aussi, je dirais que je ne discute pas beaucoup, je n'engage pas les conversations. Comme vous pouvez ainsi le constater, de ma première facette je suis snobe, enchantrice, envouteuse et maligne. Seulement, ce n'est que mon premier aspect, et vous n'avez pas vu le deuxième, tout aussi compliqué. Lorsque vous me connaîtrez un peu plus, je serai la plus folle de vos connaissances ! Dégentée, qui rigole pour un rien, toujours prête à sortir une vanne hilarante, je me fais souvent passée pour la bonne copine de service. Mon pire défaut ? Ma tchatche ! J'ai toujours quelque chose à dire, toujours quelque chose pour renfluer mes dires. J'ai comment dire, la maladie de la parole éternelle. Il faut sans cesses que je rajoute une petite chose. A vrai dire, le silence me met affreusement mal à l'aise. Quand je ne sais pas quoi faire, par exemple, j'attrape mon téléphone dernier cri, je compose le numéro d'une bonne amie et lui raconte ma journée. Mais, je suis aussi très sensible. Le moindre reproche et des larmes sont prêtes à couler. Je supporte mal les critiques, alors je m'empresse d'en trouver une pour mon adversaire. Je suis très appliquée dans mon travail, et essaye toujours d'être la plus précise possible. Moi, je suis une femme compliquée. Une femme que vous adorez. → DID I LET YOU KNOW Arizona Kara Richards, née le treize janvier mille neuf cent quatre - vingt - quatre à Paris, deuxième enfant des Richards, sa grande soeur, Daniela Eillen Richars, née le neuf septemble mille neuf cent quatre - vingt. Son père, Romy Micheal Richards, de profession ancien jockey et propriétaire d'un centre équestre à Gawler. Sa mère, Rosy Cohen Richards Brown, de profession propriétaire et monitrice d'un centre équestre à Gawler.
Arizona lisait attentivement son acte de naissance, certaine de ne pas tout connaître. Depuis un certain temps, des doutes se formaient proressivement. Elle en était sûre. Son père n'était pas mort. Elle voulait le prouver, ainsi, se débattant avec une mèche de cheveux, passa en revue tout ces papiers administratifs. Déçue de n'avoir rien trouvé de compromettant, elle laissa tomber à terre les feuilles blanches jaunâtres, et s'écroula au sol, ne sachant plus que faire. Mais, lorsque son regard se posa sur les actes divers, la jeune adolescente perçu une lettre, donc elle ne connaissait pas l'existence. Les extrémités de ce papier étaient fendues, ainsi il paraissait ancien. Arizona se releva, s'acroupissant en tailleur, et empoigna la lettre. Soudain, son sang ne fit qu'un tour, et prise d'une panique et d'une joie indéfinissable en même temps, des larmes lui montèrent aux yeux. Ce courrier venait de son père, datait du mois dernier et était visiblement adressé à sa deuxième fille. On lui avait donc mentit, durant seize longues années. On lui avait raconté que son père, victime d'un cancer, mourra peu de temps après sa naissance. La recherche d'Arizona portait ses fruits, et trop impatiente, commença la lecture à voix basse.
"Arizona, Peut être un jour tu découvrira cette lettre, et tu comprendra que ne je suis pas mort, mais bien vivant. Oui, ta mère ne m'aimait plus, et pensant que j'étais incapable d'assumer cette responsabilité d'avoir un deuxième enfant, dirvoça de moi. Ainsi, déçu de son geste, je suis partis au Canada, refaire ma vie. Je n'ai pas trouvé d'autre femme, j'aimais toujours ta mère. Celle - ci possédait un centre équestre à Gawler, qui marchait plutôt bien. J'espère d'ailleurs qu'il existe encore, et que Sultan est toujours en vie. Sultan était mon cheval de course, mais ta mère l'a sûrement vendu. Moi, avant ta naissance, j'étais jockey ! Avec mon cheval, je gagnais toute les courses. Un jour, lors du prix de Diane, j'ai rencontré Mlle. Rosy Brown, et tout de suite, ça a été l'amour fou. Alors on s'est marié, Daniela est née, et puis, quatre ans plus tard, c'était toi ! Donc ta mère m'a lâché, je suis partie. Heureusement, je la revoyais souvent. Tu sais, lorsqu'elle disait qu'elle partait acheter de nouveaux chevaux avec ta soeur, et que finalement elle revenait sans aucune bête ? Eh bien en fait elle venait me voir, au Canada, et me racontait ton évolution, tes progrés, ta vie. "
Arizona interrompu sa lecture, prise d'un chagrin inexplicable. Sa mère n'avait su que mentir, et toute sa famille l'avait trahie. Sa soeur avait donc eu, elle, le bonheur de grandir avec un père, mais pas elle. Durant vingt - six longues années, elle se questionnait, quelle sensation était - ce d'avoir un père. Daniela la connaissant, et ceci la mettait en rage. Arizona, qui était si proche de sa soeur ... La voilà à présent trompée. Et sa mère, c'était elle la cause de cette séparation.
"Du coup, je connais toute ton histoire, mais peut être que tu ne t'en rappelle plus ? Je vais te la raconter. Après ta naissance, tu t'es tout de suite accrochée mutuellement avec Daniela, vous étiez inséparable malgré votre différence d'âge. Et ta mère, consiente de tes capacités, t'initia à l'équitation à tes quatre ans. Ce sport est très vite devenu une religion pour toi ! Ainsi, j'ai donné de l'argent à ta mère pour qu'elle t'achète un poney ; Keïla, une connemara de huit ans à l'époque. Tu l'adoré, et tu y porter beaucoup d'importance. Ensuite, à huit ans tu as fais ta première compétition avec Keïla, et tu es arrivée deuxième ! Tu étais déjà une championne. Mais, quatre ans plus tard, tu es devenue trop grande pour ta ponette, alors ta mère t'a acheté Isis, un cheval selle - français de douze ans. Mais il était très capricieux et même dangereux, alors un an après, maman l'a vendu à un particulier. Alors tu es restée sans monture fixe, et tu continuais les concours avec les chevaux du centre équestre. Côté école, tu étais très bonne éleve, mais les professeurs notaient souvent qu'il y avait beaucoup de bavardages ! Deux ans plus tard, l'écurie faisait faillite peu à peu, alors toi et ta soeur, en enfants formidables, pendant les week - ends vous faisiez de la pub et vous vous rendiez aux concours, animations ... Moi, tous les mois j'envoyais un peu d'argent, mais j'ai découvert que ta mère l'utilisait pour des vêtements et non pour le centre. Deux années plus tard encore, plus rien ne rentrait dans la caisse du haras. Ainsi, tu as décidé d'arrêter l'école ; tu avais seize ans. Tu as passé le diplôme pour devenir monitrice, et ensuite, tu aidais ta mère en prenant en charge les cours. Tu travaillais aussis à mi - temps dans un bar pour rapporter de l'argent. Dix ans plus tard. Le centre équestre s'est à peu près remis sur pied. Nous serons le 20 / 07 / 12, tu donnera un cours lorsque ta mère t'annoncera que tu va rejoindre l'écurie des Burberry et en plus de ça, tu va y aller avec Majesty Oural, ton nouveau cheval.
Ton père qui t'aime."
Elle est consternée, en rage, mais à la fois contente de savoir que son père est vraiment en vie. Comment va t'elle dire à sa mère qu'elle sait tout ?
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